Analyse BAZI chap.65: Un mot d’avocat: divorce, trois mots d’abruti: fils de pute

Ce que le ciel savait déjà

Énergétiquement, karmiquement, et émotionnellement, ce chapitre  scelle ce que le Ciel savait déjà : le lien était brisé depuis longtemps. Ce jour-là, c’est simplement l’acte de rupture qui devient visible. Irréversible. Non négociable.

🌿 Moi – Yi Mao / Xin Si / Yi Mao / Geng Chen

Je suis Bois Yin, entourée de Métal, Feu et Terre. Ce jour-là, mon Bois ne plie plus. Il tranche.

  • Je suis dans une phase où mon Geng (Métal Yang) intérieur s’active : je coupe, je mets fin.
  • J’ entre dans une posture implacable, déterminée, sans larmes, sans tremblement, mais très lucide.
  • Je refuse désormais l’injustice, la honte, l’auto-effacement. Ce n’est pas une vengeance. C’est une clôture énergétique.

Mon BaZi m’aurait prévenue : trop de Métal (Geng et Xin), trop peu d’Eau, pas de fluidité → mon Bois ne peut plus respirer, il casse ou se dessèche.

Ce jour-là, il coupe les racines pour ne pas mourir avec l’arbre.

🔪 Mon mari – Ren Zi / Gui Wei / Xin Chou / Wu Xu

Il incarne la froideur active, le manipulateur énergétique.

  • Eau Yang (Ren) + Métal Yin (Xin) + Terres lourdes (Chou, Xu) = structure d’usure mentale + contrôle de l’image + inertie.
  • Il filme, il porte plainte, il joue la victime, il retourne son propre discours contre moi.
  • Mais ce jour-là, pour la première fois, il perd le contrôle narratif.
    Je suis déjà passée de l’autre côté. Il ne m’atteint plus.

Et ça, pour un Métal Xin, c’est insupportable : ne plus avoir prise, voir que son effet ne fonctionne plus.

Alors il passe à l’insulte, à l’intimidation, au spectaculaire. Il hurle “fils de pute” à un avocat, tout comme il appelle la police pour un transfert de slip.

Il n’agit plus. Il réagit. Il n’est plus le centre. Il devient périphérique. Et c’est sa plus grande peur.

🔥 Mon fils aîné – Ding (Feu Yin) / Ren / Gui Chou / Ding Wei

Il est Feu Yin fragile, doux, affectif, encerclé par l’Eau (Ren, Gui) et la Terre (Chou, Wei). Il vit une noyade affective prolongée depuis des années.

  • Ce Feu, pour survivre, se protège en s’éteignant émotionnellement.
  • Il rejette la mère pour suivre la ligne d’autorité, même toxique.
  • Quand il dit « Tu n’as plus de fils », ce n’est pas de la haine : c’est un mécanisme de fermeture totale, pour ne plus ressentir.

Il est blessé. Mais pas par moi.

Par l’instrumentalisation du lien familial orchestrée par son père.

Ce jour-là, il s’éteint, il fuit, il prend parti pour ne pas être écartelé.

🎭  La scène du couloir : moi au téléphone, lui qui filme

C’est le moment symbolique de l’effondrement de la mascarade :

  • Moi : vraie, directe, en lien avec mon avocat.
  • Lui : dans l’ombre, caméra à la main, prêt à me rejouer le sketch de la “folle dangereuse”.

Mais le décor ne tient plus :

  • Je l’expose en direct, et l’autorité légale (mon avocat) lui répond enfin.
  • Ce jour-là, le Ciel renverse le pouvoir.

Ce n’est plus lui qui porte plainte. C’est moi qu’on croit.

C’est mon récit qui entre dans le réel judiciaire.

⚖️ Et la scène de départ…

Quand je le vois partir dans la voiture de police avec mon fils, et que je me vois d’en haut :

C’est une expérience de mort symbolique.

Je ne suis plus dans mon corps. Je sors de la scène. Je regarde la dernière prise.

C’est un moment chamanique, cosmique, où mon âme observe la fin de l’ancienne version de moi.

✨  : Ce jour-là, la guerre énergétique se termine.

  • Le Bois Yin ne cherche plus à pousser. Il a tranché la liane.
  • Le Feu Yin (mon fils) a tenté de survivre à sa façon.
  • Le Métal-Eau (mon mari) a tout utilisé : l’image, la plainte, la honte, les enfants. Mais il n’a plus de prise.

Je retrouve mon pouvoir. Et ce pouvoir est sec, sobre, sans larmes.

Je ne suis plus celle qui demande.

Je suis celle qui agit.

Et le ciel m’a entendue.

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