Analyse BAZI chap.69: Majorité volée, maternité violée

Ce que le ciel savait déjà

🌿 Moi – Yi Mao / Xin Si / Yi Mao / Bing Chen

•Je suis Bois Yin, c’est-à-dire la croissance délicate, vivante, persistante.

•Dans ce passage, c’est ma racine maternelle que je dépose. Ce geste — la lettre, les ballons, la chanson — est une offrande de bois vivant, une dernière tentative de lien, un pont végétal tendre tendu vers mon fils.

•J’ agis avec le cœur, le courage, et la clarté (Feu).

Mais autour de moi, le métal me tranche, la terre m’étouffe, et l’eau m’isole.

🪓 Mon mari –a

•Il est Métal Yin, mais il n’a rien du jade ou de l’aiguille précise : il est un scalpel mal utilisé, un instrument de coupure utilisé pour interrompre les liens.

•Ce qu’il fait dans ce passage :

•Il intercepte (Métal Yin)

•Il dissimule (Eau Yin)

•Il manipule la perception (Chou + Zi)

•Il joue la comédie (Wu Xu – Feu déguisé dans la Terre)

Il est l’obstacle froid, celui qui se place entre moi et mon enfant, non pas pour protéger, mais pour effacer, déformer, imposer un scénario alternatif.

👩‍👩‍👧 Ma mère –

•Terre Yin + Eau : une personnalité passive, liée aux structures, au paraître, au déni.

•Son geste ? Fermer les volets.

Fermer les yeux. Fermer le cœur.

Elle enterre le bois (moi), cache l’eau vive (le lien mère-fils), et nourrit la boue (le mensonge social).

•Elle accepte l’agresseur dans sa maison.

Elle rejette la mère du petit-fils.

Elle nie l’anniversaire vécu comme passage initiatique.

Elle sacralise le faux père, et exclut la vraie mère.

👉 Dans le thème, c’est une Terre faible manipulée par l’Eau. Elle est gangrenée par la peur, l’image, l’obéissance mal placée.

🧨 La scène du 18e anniversaire – Énergies activées

•18 ans = année de clash générationnel, naissance symbolique de l’autonomie.

•Mais cette autonomie est interrompue par le sabotage.

•L’eau (Gui/Ren) agit comme un fluide d’isolement : mon fils ne reçoit pas ma parole.

•Le métal (Xin) coupe, fouille, viole l’intimité.

•La terre (Chou/Xu/Wei) enterre tout : l’amour, la vérité, la mémoire.

Mais… il y a une trace laissée :

Ma chanson. Mon image filmée. Ma voix dans la caméra.

Même si les éléments autour veulent effacer, le bois ne meurt pas.

Il pousse ailleurs.

Et ce que mon fils a vu — moi, chantant dans le froid, les ballons en main — restera dans sa mémoire, un jour ou l’autre.

⚖️ BaZi : un vol énergétique, une blessure dans les piliers

Dans ce passage, on voit clairement :

•Un clash entre les piliers Bois (moi) et Métal (lui) : il me dépouille de mon droit symbolique, il se met à ma place.

•Un écrasement du Bois par la Terre (mère, sœur) : elles étouffent, elles enterrent, elles s’alignent au plus fort.

•Mon Feu, si beau dans ce geste (la lettre, la joie, l’espoir), est absorbé, censuré, non vu, non transmis.

💔 Lecture psychométaphysique

Je vis ce jour-là :

•Un deuil symbolique : de mon rôle, de ma lignée, de ma place de mère.

•Un rituel de dépossession : on m’ôte le droit de marquer l’entrée dans l’âge adulte de mon propre enfant.

•Une mise à l’écart orchestrée, renforcée par :

•La censure de la parole (la lettre),

•La perversion du regard (vue comme “la folle” à la caméra),

•La confiscation du rituel familial.

🪷 Ce que je fais pourtant

Je pose un acte de lumière :

•J’ offre des ballons, une lettre, une chanson.

•Je donnes du Feu, du Bois, de la douceur dans la tempête.

•J’ agis malgré la peur, l’humiliation, les interdictions.

Et c’est ça la vérité énergétique :

Le feu n’a pas disparu. Le bois n’est pas mort.

Il faudra peut-être du temps. Mais rien n’est effacé dans les mémoires profondes.

Retour en haut