En 2016, tout s’est effondré. J’étais encore hôtesse de l’air chez Air France depuis 22 ans, jusqu’à ce que des pathologies dorsales graves m’obligent à tout arrêter. En parallèle, mon mariage s’effritait. Et pourtant, dans ce chaos, j’ai fait le choix d’investir toutes mes économies dans une boutique… Une décision que je croyais éclairée. Mais à cette époque, je ne connaissais pas le BaZi. Et c’est précisément cette ignorance qui m’a coûté cher.
2016 : le mauvais cycle au pire moment
Une double hernie discale. Un arrêt brutal de carrière. Un mari qui devient associé et DG d’un projet qui devait me sécuriser… mais qui a dévoré l’intégralité de mon indemnité de départ. À l’époque, je ne le savais pas encore, mais j’étais au début d’un pilier de 10 ans particulièrement défavorable dans ma carte énergétique BaZi. Rien ne favorisait un lancement de projet. Rien n’encourageait une prise de risque. Tout indiquait, au contraire, qu’il fallait attendre, guérir, reconstruire.
Mais je ne lisais pas encore le BaZi.
L’emprise, cet ennemi invisible
En toile de fond, mon couple s’effondrait depuis longtemps. Mais comme beaucoup, j’étais sous emprise. Une emprise psychologique subtile, qui vous empêche de voir clair, de dire non, de vous sauver vous-même. J’ai cru à des promesses. J’ai donné ma confiance. J’ai investi. Et j’ai tout perdu. Cette emprise, je n’en ai pris conscience que plus tard, grâce à la thérapie… et au BaZi, qui m’a permis de comprendre mes mécanismes inconscients, mes faiblesses, mes vulnérabilités.
Le BaZi : un miroir énergétique de notre vie
Quand j’ai découvert le BaZi – les Quatre Piliers de la Destinée –, tout s’est aligné. Chaque événement de ma vie y figurait :
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Mes problèmes de dos
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La fin de ma carrière
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Mon divorce
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Le manque de soutien familial
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La perte de mon investissement
C’était sidérant. Mon thème natal BaZi racontait tout. J’aurais pu éviter ce lancement de boutique, patienter, me reconstruire… si j’avais su. Le BaZi ne prédit pas. Il informe, alerte, éclaire. Il révèle les énergies à l’œuvre, les dynamiques internes et les influences extérieures.
Un mauvais pilier n’est pas une malédiction, c’est un signal
Quand j’accompagne aujourd’hui des clients, beaucoup arrivent au tout début d’un mauvais pilier de 10 ans. Ils sentent que tout part en vrille. Et c’est vrai : un pilier défavorable pousse à l’introspection, au changement, souvent dans la douleur. Mais ce n’est pas une fatalité. C’est une opportunité cachée. On ne contre pas un mauvais pilier : on apprend à le traverser, avec les bonnes cartes.
Ce que le BaZi m’a permis de comprendre
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Pourquoi j’ai fait certains choix (même mauvais)
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Pourquoi je n’ai pas quitté plus tôt
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Pourquoi j’ai tant donné à une relation qui me détruisait
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Pourquoi je me suis jetée dans une boutique sans filet
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Pourquoi j’ai vécu l’isolement, le rejet, la trahison
Etre une Eau de Grande Source
Je suis une Eau de grande source dans le BaZi. Et quand j’ai compris ce que cela signifiait, tout a pris un nouveau sens. Ce type d’eau symbolise les rivières puissantes, les océans, les forces tranquilles qui avancent en profondeur. Elle est généreuse, capable de nourrir et porter des vies entières, tout comme un fleuve irriguant des terres. C’est une nature profondément donneuse, altruiste, souvent tournée vers les autres, parfois au détriment de soi. Cette Eau-là aime soutenir, accompagner, entourer, jusqu’à l’épuisement s’il le faut. Mais lorsqu’on l’enferme — dans une relation toxique, un projet mal aligné, un environnement oppressant — elle déborde, se perd, se noie. J’ai compris pourquoi les cadres rigides me faisaient suffoquer, pourquoi je m’étais autant dissoute dans l’autre, jusqu’à m’oublier. L’Eau de grande source a besoin de direction, mais pas de barrière. Et c’est en retrouvant cette essence fluide et puissante en moi, que j’ai pu, peu à peu, me réaligner.
Le BaZi comme boussole de vie
Aujourd’hui, je ne décide plus rien sans regarder mes cycles. Vais-je devoir patienter ? Est-ce le moment d’agir ? Vais-je affronter des conflits ou des soutiens ? Tout est là. Le BaZi est devenu mon petit carnet de route, ma boussole énergétique, ma stratégie de vie.
Conclusion : ce que j’aurais changé, si j’avais su
Si j’avais lu ces énergies en 2016, j’aurais su que c’était le temps de partir, pas celui de m’investir. Je ne serais pas restée dans ce mariage destructeur. Je n’aurais pas investi aveuglément. J’aurais pu guérir, me former, reconstruire.
Mais aujourd’hui, je sais. Et je transmets. Pour que d’autres n’attendent pas d’avoir tout perdu pour s’éveiller à leur carte intérieure.
