Analyse BAZI chap.85: Clés rendues, vinyles explosés, photo interdite

Ce que le ciel savait déjà

La maison = Terre, stabilité, ancrage, construction sur la durée.
La vente = transformation de la Terre en Métal (l’argent, la liquidité, la valeur concrète).
Mais comme je suis Bois Yin (Yi Mao), mon Bois contrôle la Terre → quitter la maison est aussi un arrachement violent, car je déracine quelque chose qui m’avait nourrie pendant 22 ans.
D’un point de vue psychologique : je gagne une liberté (Métal) mais je perds un ancrage (Terre). D’où ce fil tendu entre soulagement et déchirement.

Monter un dossier, falsifier → énergie Métal (papier, administration, stratégie, contourner les règles).
Moi, Bois Yin, face à ce Métal : normalement le Métal me contrôle (loi, justice, contraintes). Mais ici, c’est moi qui retourne le Métal à mon avantage → système inversé : j’ utilise sa rigidité pour passer les barrières.
Ma sœur (Xin Hai) joue le rôle de Métal raffiné, tranchant et technique, celui qui me donne l’arme pour “couper” la réalité administrative.

Les vinyles = Métal (objets précieux, collection, mémoire).
Mon geste = Feu qui détruit le Métal (cycle de contrôle).
C’est un acte de colère purificatrice, un défouloir où je reprends du pouvoir (Feu = pouvoir du Bois).
Ma copine Lise qui applaudit → elle incarne le Feu social, celui qui entretient la flamme et justifie mon acte .

Choc : dans cette colère Feu, tombe une photo liée à l’Eau → l’intime, le caché, le secret.
Voir ma mère à travers ce prisme, sexualisée et objetisée → c’est une Eau sale, trouble qui me submerge d’écœurement.
C’est aussi une inversion des rôles : ma mère, qui aurait dû être figure d’Eau nourrissante, devient un reflet malsain (Eau stagnante).
Moi, Bois Yin, je suis nourrie par l’Eau → mais ici, c’est une Eau toxique, qui nourrit mon Bois de doute et de dégoût.

- Une balançoire, c’est un mouvement de va-et-vient, un flux, un rythme régulier comme une vague.
- C’est un objet qui berce, qui apaise → qualités proches de l’Eau Yin (souple, oscillante, enveloppante).
- Dans ce cas : il ne coupe pas seulement mon Bois, il vient polluer mon Eau (mon espace intime, mes ressources de réconfort).
- L’Eau, c’est aussi la mémoire émotionnelle : il déplace et salit un objet de mon histoire, en le mettant dans son nouveau décor avec la maîtresse.