Ce que le ciel savait déjà
Moi : Bois Yin (乙木), délicat, souple, adaptable… mais entourée d’Eau et de Feu → instabilité, contraste, poussée permanente à survivre entre tension et expression.
Ma force intérieure : le Feu, très présent dans mon thème, me pousse à chercher la lumière, à rayonner, mais dans un environnement (compagnon, système, hiérarchie) qui m’éteint ou me juge.
Long-courrier = nouveau monde → dans mon BaZi, cette période entre 1999-2008 correspond à une grande transition : → Eau Yang + Terre.
👉 L’Eau alimente mon Bois, donc mon essence, mais affaiblit mon Feu, c’est-à-dire ma visibilité, mon rayonnement, mon affirmation personnelle.
👉 La Terre (辰) est aussi le siège du stockage du Feu → je garde en moi ce feu, mais je ne peux pas encore le libérer totalement.
🌱 Mon Bois Yin pousse dans un sol instable, entre la chaleur des escales et le froid des uniformes trop serrés.
Mais ce bois, discret et déterminé, trouve une façon de survivre à l’ombre, sans casser, sans s’éteindre.
👉 J’observe, je m’adapte, je refuse le “troupeau”, je reste fidèle à mon regard, à mon intégrité.
👉 Mon feu ne s’éteint pas. Il couve. Il attend son heure.
Mon compagnon ? Xin — Métal Yin.
Le métal Yin coupe le bois, mais sans brutalité. Il l’entaille doucement, avec des remarques, des regards, des tensions invisibles.
Il n’exprime pas clairement sa jalousie, mais il restreint mon espace par petites touches.
💬 En clair :
Ce métier m’a mise en tension avec mes éléments : j’y cherchais la lumière (Feu), l’émotion vraie (Eau), l’ancrage (Terre), l’oxygène (Air).
Mais c’est mon Bois Yin qui m’a portée : souple, lucide, à contre-courant, capable de survivre là où d’autres s’effondrent.
Le ciel savait que cette fille de Bois Yin, plongée dans les turbulences du long-courrier, ne se brûlerait pas dans les feux artificiels.
Parce que sa force n’était pas de briller fort, mais de tenir longtemps.
