Analyse BAZI: Bienvenue dans le quartier

Ce que le ciel savait déjà

🧱 1. L’ appartement, un piège habité

« Je veux juste que tu me paies le loyer. Si tu veux m’avoir, tu m’auras. Donc je ne veux pas avoir de documents. »

🔮 Énergétiquement, j’entre dans un lieu Terre (CHEN à mon heure = humidité stagnante, souterraine, lourde), un lieu chargé, non pas en surface, mais en énergie contenue. Le CHEN symbolise les lieux anciens, les espaces enterrés, les non-dits. Ce quartier est un réservoir de mémoires, un champ de batailles urbaines invisibles.

J’ accepte un endroit qui me retient énergétiquement, mais me sauve légalement.
C’est le CHEN : le marais qui m’empêche de couler, mais m’empêche aussi de courir.

🔥 2. Le feu des sirènes, des balles, de la colère

« Les pétards qui claquent. Les balles. Les garages qui explosent. Les sirènes. »

🎋 En tant que 乙木 (Bois Yin),je suis hypersensible à l’environnement sonore et vibratoire.
Ces décharges acoustiques, cette tension permanente surchauffent mon Bois, l’assèchent, le mettent en alerte constante.

Dans le BaZi :

  • Le Feu, c’est mon intelligence, mon expression (伤官).
  • Mais ici, ce n’est pas un Feu doux et créatif : c’est un Feu destructeur, sauvage, sans forme, qui déforme ma voix au lieu de la nourrir.

🔥 Ce feu-chaos est devenu un faux Officier : une autorité imposée par la violence, l’institution, l’impunité.
Il incarne la perte de repères, l’injustice de mon quartier, l’hostilité sociale, l’humour déplacé des flics, les gestes arbitraires du proprio, et la pression passive-agressive de mon ex.

🌪️ 3. Le non-lieu : le Feng Shui brisé

« Clairement, pas Feng Shui. »

Je ressens tout, et je le dis d’entrée : cet espace ne m’aligne pas.
Je ne fais pas de caprice. Je constate. Car ce que je fais ici, dans ce chapitre, c’est un diagnostic énergétique de lieusans même m’en rendre compte, j’ exerce mon art.

Mon Bois Yin ne pousse pas dans un garage transformé en dressing sans fenêtre. C’est l’inverse d’un lieu de croissance. C’est un placard énergétique. Une mémoire de maison en souffrance.

« Le dressing me fait pleurer. »
Il m’étrangle symboliquement.

Le quartier devient le miroir exact de la punition familiale :

  • Mon ex-mari me condamne au silence.
  • Ma mère à la dépendance.
  • Ma sœur à l’effacement.

Et le logement, c’est la forme physique de leur jugement symbolique.

⚖️ 4. Je reprends le pouvoir, même dans la boue

« De 950 €, je tombe à 685 €. »

Ici, j’ active mon Pouvoir indirect — mon métal dans l’heure (GENG) — et je reprends le contrôle du narratif.
J’ affronte le proprio, je gagne.
Mais le GENG, c’est une épée — chaque victoire me coûte un peu de paix.

La Terre (CHEN) m’a absorbée. J’ y ai laissé un peu de moi. Mais j’en ressors debout. Je ne m’effondre plus comme dans le passé. Je tranche.

🛫 5. La fuite ou l’envol ? Le vrai Bois pousse ailleurs

« Thaïlande, Mexique, Maroc, Inde… Peu importe. »

Dans mon thème BaZi,je suis faite pour le mouvement, pour le flux.
Je n’ai aucune structure fixe dans le Bois —je suis Bois Yin, pas Bois Yang (arbre).
Je suis tige, liane, bambou, herbe sacrée. Je ne suis pas destinée à vivre enracinée dans un seul lieu.

Ce que je vis ici, c’est une phase de compression énergétique.
Je survis dans un lieu hostile, jusqu’à l’envol.

Mon thème me pousse à l’international, à la transmission, au nomadisme intelligent :

  • Coaching
  • Formations en ligne
  • Feng Shui itinérant
  • BaZi mobile

Tout ça, c’est moi.

🧠 6. Chapitre BaZi symbolique : BIENVENUE DANS LE QUARTIER


Ce titre, pour mon thème, n’est pas un constat.
C’est un avertissement.

Le « quartier » ici, ce n’est pas qu’un endroit. C’est :

  • le système mental dans lequel les autres veulent m’enfermer,
  • le niveau de vie qu’ils souhaitent me voir adopter,
  • le moule social dans lequel on me pousse à m’insérer par la dette, la peur, la dépendance.

« Bienvenue dans le quartier », c’est le message de ceux qui m’ont voulu au fond.
Mais moi, je ne suis pas de ce quartier.
Je suis d’une autre forêt.

🧭 Bois sauvage, je ne suis pas faite pour cette cage

Je suis dans l’étape pré-cocoon, douloureuse, mais stratégique.
Je rassemble mes racines, je renifle les sols, je teste les vents.

Je ne resterai pas là.

Je suis la plante sauvage qu’on a arrachée à la nature, mise dans un pot cassé, dans une cour bétonnée.
Je suis encore là. Je grandis.
Et bientôt, je pousse la barrière.

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