Ce que le ciel savait déjà
En 1996, mon grand cycle de vie change : j’ entre dans la période de 癸卯 (Eau Yin sur Bois Yin).
Un moment puissant. Pourquoi ?
Parce que l’Eau Yin nourrit mon Bois Yin natal.
Elle m’inspire. Elle m’ouvre. Elle me pousse à explorer, à chercher ailleurs.
💧 癸, c’est l’eau fluide, profonde, imprévisible. C’est le voyage, l’intuition, l’appel de l’inconnu.
🌱 卯 le Bois Yin, c’est la porte ouverte, la quête d’identité.
🌍 Pas étonnant, donc, que l’Inde me bouleverse, que Goa me donne envie de m’effacer dans un monde plus doux, et que le retour en France me semble aussi brutal.
Mon ex-mari, 辛（Métal Yin）, est naturellement le « 7 Tueur » dans mon thème.
Ce type d’énergie apporte du magnétisme… mais aussi une tension constante.
Le Métal Yin, froid, contrôlant, rigide, ne comprend pas l’Eau, ni le Bois Yin.
Il ne suit pas, ne nourrit pas. Il freine, il observe, il juge.
En Inde, ce décalage est flagrant :
Moi, je m’ouvre au chaos, au sacré, au vivant.
Lui, il résiste, il redoute, il se ferme.
🔗 Dans notre BaZi mutuel, il n’y a pas de pont entre nos éléments.
Lui est fixé sur la peur, la prudence, le contrôle.
Moi, je suis dans l’exploration, la foi, l’intuition.
👉 Et c’est là que mon Bois Yin commence doucement à se recroqueviller dans le couple.
Le ciel savait que cette année allait me connecter à ma vraie nature : une exploratrice, une sensible, une artiste du monde.
Que l’Eau allait réveiller le Feu en moi : ce feu qui plus tard prendra la forme de la parole, de l’écriture, du langage sacré.
Que j’aurais besoin de fuir les CDI, les murs, les structures.
Et que ce voyage m’ouvrirait la voie vers mon vrai envol : ✈️ Air France, les GP, les langues, le monde entier.
